LE VICOMTE POURFENDU
Création 2021, tout public dès 8 ans, d'après Italo Calvino
18 janvier: participation aux Salons d'Artistes
15-19 septembre: Le Pommier, Neuchâtel
20 octobre: Maison des Arts du Léman, Thonon
19-21 novembre: Théâtre de l'Oriental, Vevey
25-28 novembre: Théâtre de l'ABC, La Chaux-de-Fonds
Adaptation: Domenico Carli/ Mise en scène: Sandro De Feo
Avec: Roberto Molo/ Musique & jeu: Thomas Steiger
Conception univers musical: Bill Holden
Collaboration artistique: Laure Hirsig
Scénographie: Pavillon Trois/ Lumière: Amandine Baldi
Régie: Gabriel Dollat/ Costumes: Marie Jeanrenaud
Univers visuel: Albertine Mermet/ Travail corporel: Juliette Vernerey
Regard complice: Pascale Güdel/ Photo & vidéo: Audrey Bersier
Production: Rust Roest Kollectif
Coproduction: Le Pommier, Neuchâtel et Théâtre de l'ABC,
La Chaux-de-Fonds
Soutiens:
Loterie Romande Neuchâtel, Canton de Neuchâtel, Ville de Neuchâtel, Fondation Jan Michalski, Pro Helvetia, Ernst Goehner Stiftung, Fondation culturelle BCN, Fondation du Casino de Neuchâtel, Fonds culturel de la Société Suisse des Auteurs (SSA), Fondation Engelberts
Dans les médias:
Migros Magazine (13.9.21)/ ArcInfo (23.9.21 & 19.11.21)
Revue l’Agenda (N°93, novembre/décembre 2021)
RTN (23.11.21)
Dossier de production et captation disponibles sur demande
Avec humour, philosophie et objets sonores, un homme nous conte l'histoire palpitante du fantasque vicomte de Terralba, un noble parti en guerre qu’un boulet de canon tranche nettement en deux. Ne reste intacte que la moitié droite de son corps, qui cumule les pires méfaits…
Dans un mélange jubilatoire d’ironie et d’humour décapant, la mise en scène du Neuchâtelois Sandro De Feo, portée par le magnifique comédien Roberto Molo, les instruments du musicien-bricoleur Bill Holden et le musicien Thomas Steiger, érige la naïveté enfantine comme un rempart contre la cruauté et l’absurdité du monde des adultes. Création tout public, Le vicomte pourfendu n’édulcore pas la poésie macabre et l’humour ravageur de l’œuvre d'Italo Calvino. La dimension initiatique de ce conte cruel, ici adapté à la scène, érige la naïveté enfantine comme véritable protection contre la brutalité du monde adulte.
Et si le Petit était plus sage que les Grands? Et si la frontière entre Bien et Mal était plus poreuse que tranchée? Et si les erreurs ne se résumaient pas à de stériles errances, mais se révélaient de précieux leviers pour mieux se réinventer? Et si, à tout âge, l’imaginaire était un refuge contre la barbarie?