LE FILS QUI...
Création 2015
présentée à Bienne, Neuchâtel, Delémont,
Moutier, Genève et Thun
Concept & interprétation: Sandro De Feo
Collaboration littéraire: Domenico Carli
Co-mise en scène: Aurore Faivre
Regards extérieurs: Françoise Boillat et Olivier Tilleux
Lumière: Dominique Dardant
Affiche: Contreforme
Photos: Simon Rowell
Production déléguée: Rust Roest Kollectif
Production: Collectif Illusion Ephémère
Coproduction:
Spectacles français Bienne, Théâtre du Pommier Neuchâtel
Avec le soutien de: Ernst Göhner Stiftung, Ville de Neuchâtel,
Fondation Engelberts, Fondation Casino de Neuchâtel
Dans les médias:
Télébielingue (15.04.2015)
Radio Canal 3 (23.04.2015)
RTS – La 1ère (26.04.2015)
Le Journal du Jura (28.04.2015)
Vivre la ville (29.04.2015)
Vigouss (01.05.2015)
RTN (04.05.2015)
L'Express/L'Impartial (05.05.15)
Le Quotidien Jurassien (07.05.15)
Canal Alpha (26.11.2015)
Captation, dossier & fiche technique disponibles sur demande
Bienvenue dans cette famille immigrée à Bienne dans les années 60, pétrie de contradictions décortiquées ici avec humour. Seul en scène, le comédien interprète le père, adepte de chanson italienne sirupeuse, le frère, footballeur professionnel, la mère, la grand-mère, la tante et lui-même, perdu dans ce noyau familial déjanté.
Dans ce salon où les accents se mélangent – italien, frioulan, suisse-allemand – on observe les divergences d’opinions entre générations et les quiproquos qui en découlent. Le fils qui... est une sorte de miroir humoristique, montrant des fragments de vie d’un jeune adulte qui a souvent de la peine à s’insérer – voire à se reconnaître – dans une famille aux contradictions très fortes, bien souvent absurdes et avec lesquelles il cohabite grâce à l’utilisation de l’ironie. On y devine les sujets de l’immigration italienne en Suisse des année 60, les différentes langues parlées et cultures véhiculées au sein du noyau familial, le tout teinté d’humour grinçant.
C'est un dîner de famille qui tourne mal, sorte de comédie à l’italienne condensée. Tout un chacun pourra s’y reconnaître et voir, à travers cette expérience rapportée par un seul acteur, comment la multiculturalité n’empêche pas forcément une structure familiale archaïque, et toutes les tensions et non-dits qui vont avec.